Je m’en souviens
Du jour, que nul ne peut me faire oublier
Quand tu m’avais dit, "Perri, on peut s’aimer"
Mais Je m’en souviens
Je ne sais si c’est parce que le destin l'avait décidé
Ou parce que c’était le 14 mai
Mais je m’en souviens
Je ne sais si c’est parce que ce jour avait tout changé
Du coin de l'oeil je te regardais danser
Mais je m’en souviens
Je ne sais pas si c’est parce que je ne pouvais pas m’empêcher
Dans les yeux de te regarder
Mais je m’en souviens
De lumineux éclairs, le ciel strié,
Et moi, ma belle, d'admirer
Mais je m’en souviens
Vingt ans après sur cette terre, mon rêve était devenu réalité,
D'un coup, je sentais mon Coeur palpité
Mais je m’en souviens
Comment, déjà, j’imaginais le reste de ma vie à tes cotés
Amoureusement, je t’avais déjà accepté
Mais je m’en souviens
Comment cette nuit, mes yeux ne pouvaient pas fermer,
Ton nom, j’ecrivais sur des feuilles de papier
Mais je m’en souviens
Des beaux moments passés
Franchement, de toi, j’étais obsédé
Mais je m’en souviens
Je m’en souviens
De la fille qui m’avait fait tant pleurer
Quand elle m’avait dit dit, "Perri, on doit tout cesser"
Mais je m’en souviens
© October 2010 - Perri Pierre
Du jour, que nul ne peut me faire oublier
Quand tu m’avais dit, "Perri, on peut s’aimer"
Mais Je m’en souviens
Je ne sais si c’est parce que le destin l'avait décidé
Ou parce que c’était le 14 mai
Mais je m’en souviens
Je ne sais si c’est parce que ce jour avait tout changé
Du coin de l'oeil je te regardais danser
Mais je m’en souviens
Je ne sais pas si c’est parce que je ne pouvais pas m’empêcher
Dans les yeux de te regarder
Mais je m’en souviens
De lumineux éclairs, le ciel strié,
Et moi, ma belle, d'admirer
Mais je m’en souviens
Vingt ans après sur cette terre, mon rêve était devenu réalité,
D'un coup, je sentais mon Coeur palpité
Mais je m’en souviens
Comment, déjà, j’imaginais le reste de ma vie à tes cotés
Amoureusement, je t’avais déjà accepté
Mais je m’en souviens
Comment cette nuit, mes yeux ne pouvaient pas fermer,
Ton nom, j’ecrivais sur des feuilles de papier
Mais je m’en souviens
Des beaux moments passés
Franchement, de toi, j’étais obsédé
Mais je m’en souviens
Je m’en souviens
De la fille qui m’avait fait tant pleurer
Quand elle m’avait dit dit, "Perri, on doit tout cesser"
Mais je m’en souviens
© October 2010 - Perri Pierre